Descriptions

Le bureau du professeur Ichabod, s'il est d'une taille respectable, impressionne surtout le visiteur par son contenu. Si une table et des chaises ouvragés, en bois d'ébêne, trônent vers le fond de la pièce, l'on remarque surtout la quantité ahurissante de livres, tapissant avec de nombreuses photographies et peintures, les murs. L'un des tableaux ne représente qu'une toile noire, vide, dont personne n'a jamais compris l'utilité. Avec cette omniprésence de connaissance, se trouvent de nombreux objets, éparpillés ci et là, avec sens de l'esthétique: un petit miroir, un nombre incalculable de bougies, des sculptures venant d'autres pays, quelques dessins dont l'auteur n'est autre qu'Elfriede, des bibelots aux fonctions inconnues, et autres. Malgré cette première impression... impressionante et quelque peu distante et mystérieuse, le bureau de l'Allemande reste un lieu apprécié par ses confrères et ses élèves, car l'on pourra toujours y déguster un thé délicieux, ou autre breuvage qu'elle aura pris de l'un de ses voyages...

Clairement inscrit dans un style art nouveau, le bureau du professeur reste pourtant à son image aussi sobre que délicatement relevé de quelques touches fantaisiste. Cette pièce circulaire, située dans une échauguette plus spacieuse qu'il n'y parait, est éclairée de trois larges fenêtres aux simples vitraux bordant les carreaux montant sur toute la hauteur du plafond. Une bibliothèque fermée à clef de plaques de verre fumé aux même motifs, on suppose qu'elle renferme magiquement les dossiers des élèves, les notes, les cours, quelques travaux pratiques et on raconte même qu'y sont caché des livres de ses propres recherches qui comprendrait des sorts inédits, ainsi que quelques potions et d'autres informations tout aussi croustillantes, mais ce n'est qu'une rumeur.
Les murs sont ornés de tableaux magiques, portraits et motifs d'un célèbre peintre venu de l'est nommé Mucha. On y trouve aussi de nombreux objets de curiosité, maquettes julverniennes, vestige d'une prestigieuse exposition universelle. Surplombant une large cheminée au ton du reste de la pièce, on pourra trouver une réplique parfaite et fonctionnelle de la grande horloge astronomique de Prague, dont le fonctionnement pourtant mathématique échappe à plus d'un élève.
Comme on pourrait s'y attendre c'est à son large bureau qu'est le plus souvent assis le professeur, lunettes sur le nez abimée dans quelques lectures passionnante ou correction... souvent décevantes.

Ce bureau, situé au second étage, se trouve près de l'entrée d'un escalier secret menant près de la salle commune des Poufsouffles. Il a vue sur le lac.

Le bureau comprend aussi des appartements de petite taille pour les soirs de garde : une petite chambre avec salle de bain et un petit salon, bien meublés, mais les élèves n'en voient rien de plus que la porte, au fond du bureau en lui même.

La pièce est rectangulaire et fait à peu près trois mètres sur trois. En entrant, on voit à droite une bibliothèque, mais la plupart des livres sont des manuels scolaires ou quelques ouvrages plus ciblés que ceux de la librairie de l'école. Au milieu du mur se trouve la porte de la chambre, en chêne sombre.
Face à vous, les fenêtres donnant sur le lac, les plantes d'intérieur de Deneb (des pousses des roses de son jardin, qui changent donc de couleur) sur une armoire basse. N'essayez pas de l'ouvrir, vous vous prendriez un sort dans la figure.
Sur la droite, un bureau de bois de chêne assez ancien datant du professeur précédent. Une dernière étagère se trouve contre ce mur ci, où est stockée, en particulier, la pensine de St-Just.

Le bureau du professeur MacDonald est somme toute assez classique. Principalement composé de meuble en bois de chêne, on y trouve toutes sortes d’objet astronomique, comme une lunette datant du 17e siècle, un télescope et même une maquette mouvante du système solaire et au mur, des tableaux représentant l’espace en mouvement… A cela viennent s’ajouter, remplissant deux pans de mur entiers, quantités d’ouvrages sur le sujet, mais également sur l’histoire de son clan. N’est pas écossaise qui veut et Caitlin aime à afficher son appartenance à un clan ancestrale. Aussi trouverez vous des plaids aux couleurs du clan MacDonald, mais également leur blason accompagné leur devise « Per mare per terras » fixé en évidence au dessus de son bureau.
Le bureau du professeur MacDonald est large et toujours impeccablement rangé en son absence. Quand elle travaille dessus, il peut y avoir un peut de désordre, mais on arrive toujours à s’y retrouver. Dans un coin, près de la cheminée se trouve un fauteuil confortable où elle aime s’installer pour boire une tasse de thé ou réfléchir à son prochain cours…
Le caractère chaud et accueillant de son bureau contraste étrangement avec son apparence qu’elle veut assez stricte, mais les élèves apprennent vite à la connaître et si ce n’est pas le cas, un tour dans son bureau leur donnera une idée de sa personnalité…